Bechalah 5767
Thême : Le miracle et la nature.
Dans la paracha Vayera, il existe un dialogue très difficile à comprendre, celui entre Hachem, Avrahama avinou et Sarah Imanou à propos du « rire » de Sarah et de sa dénégation.
Guemara Taanit, daf 25, histoires sur le tsadik Rabi Hanina ben Dossa : les halot qui se multiplient et le vinaigre qui brûle à la place de l’huile.
Enseignement du Noam Elimelekh, cité à deux reprises dans son sefer (paracha Behar et paracha Vayera), concernant la berakha de la 7ème année, la cheviit. Si tu viens à demander « que mangera t-on la septième année ? » Réponse : j’établirai ma bénédiction sur les trois années. Demande le frère du Noam Elimelekh : et si on ne pose pas la question, Hachem va-t-il nous laisser mourir de faim ? Réponse : c’est juste l’inverse ! Puisque l’on pose la question, la berakha se limite aux trois années, alors qu’elle aurait dû être sans limite !
Dans notre paracha : ouverture de la Mer Rouge : miracle ! Fourniture de la manne, miracle quotidien, pas moins grand !!
Bon limoud
