Sanhedrine Beiyoun – 1

Perek « BEN SORER OUMORE », daf 71b

Nous sommes dans le Beth Hamidrach de la Rashi Choule, 6 rue Ambroise Thomas, Paris 9e. Comme chaque jeudi soir, après avoir donné son chiour de Daf Hayomi au Beth Hamidrach de la rue Cadet, distante de quelques centaines de mètres, le Rav zatsal arrive à la Rashi Choule vers 21 heures pour ce cours hebdomadaire. Autour de la table, se mêlent des fidèles de la Choule et d’autres, venus des quatre coins de Paris.

Entrez, asseyez vous, vous êtes les bienvenus !

Le chiour va commencer. Pour l’écouter, cliquer sur le « casque » ci-dessous.

Nous sommes en 1995, il y a vingt cinq ans …

Quelques mots pour comprendre où se situe le premier enregistrement ci-dessous :

Dans le perek « Ben Sorer ouMoré », au daf 71b, la Michna rapporte une différence au regard du statut de l’ « enfant rebelle » selon qu’il franchit l’âge limite au-delà duquel on ne peut plus le condamner, AVANT ou APRES la sentence des juges.

La guemara s’ouvre sur un enseignement de Rabbi Hanina, qui semble s’inspirer de la même logique, mais cette fois-ci il s’agit d’un goy qui va se convertir : la conversion va le rendre PATOUR d’une condamnation à mort.

Dans les précédents chiourim, le Rav a amené plusieurs enseignements contradictoires concernant le goy qui se converti : parfois on dira « ke katane chénolad damé » (le converti ressemble à un nouveau-né, totalement déconnecté de son passé) et parfois on ne le dira pas.

Le Rav avait promis d’expliquer toutes ces contradictions pour faire ressortir une logique claire. La voilà…..

1. sanhedrine 71b. 1.mp3

Bon limoud, et à jeudi prochain pour la suite.

PS. le deuxième fichier ci-dessous est un complément, pour public averti.

1.suite. sanhedrine 71b.mp3

 

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