Klalot 217
Dans le chapitre de la avoda qui exige l’adhésion du coeur, on trouve bien sûr l’étude de la Torah et la Tefila.
Le Rav développe le concept de la téfila, le principal étant bien sûr la amida. Présentation de sa structure et de son importance.
Le sefer Hassidim explique que la nature de l’être humain étant d’être plus attiré par les sujets qui le concernent, une personne qui prie risque de ne mettre sa « kavanna » que dans la bera’ha qui correspond à son soucis immédiat (parnassa ou santé, etc..) et, explique-t-il, ceci est très mauvais, car cela revient à faire de la prière une « application », un outil pour « entrer en relation avec les autorités ». En réalité, dit le Rav, les ‘ha’hamim qui ont rédigé le texte de la amida savaient que chacun d’entre nous à besoin de ces bera’hot là pour être « protégés », et pas seulement pour être « guéris » ! Toutes les bera’hot doivent être dites avec la même importance et la même ferveur.
